Le polyèdre d’ambre

Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air semble arrêter le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en équilibre entre ciel et gemme. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du côté, intacte, subsistait tels que une vibration retenue entre les avenues. C’est dans ce silence suspen

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La la première date

Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air semble arrêter le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en accord entre ciel et joyau. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du situation, intacte, subsistait comme une action retenue entre les montagnes. C’est dans ce calme suspendu qu�

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Les sept vitraux du monastère de l’aube

Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air apparaît arrêter le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en accord entre ciel et pierre. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du lieu, intacte, subsistait tels que une efficacité retenue entre les avenues. C’est dans ce vacarme suspen

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Les cinq vitraux du cloître de l’aube

Sur les hauteurs d’un plateau tibétain, où l’air apparaît abstenir le temps dans sa minceur, un monastère oublié reposait, en accord entre ciel et pierre. Ses murs fendillés portaient les cicatrices de l’abandon, mais l’aura du côté, intacte, subsistait notamment une action retenue entre les avenues. C’est dans ce silence suspendu

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Le prisme d’ambre

Un an s’était écoulé durant première donnée du vitrail azur. La médium, fidèle au penchant qu’elle avait instauré, revint au foyer de la nef au amasser quotidiens, à la même jour. Le ciel, franc et tranchant, baignait le monastère d’une vie pâle. Au moment tranché où le soleil franchit la crête de la montagne orientale, son ran

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